Le confinement à Paris serait prévu pour ce mercredi, avec couvre-feu le soir. Un petit air de temps de guerre qui va continuer de faire remonter toutes sortes de peurs – comme si la pandémie du Covid-19 et ses conséquences politiques, économiques et sanitaires sur notre quotidien n’en n’avait pas assez exhumées déjà.
Je serai fidèle à mon poste à mon cabinet du 105 de la rue Caulaincourt : vous pouvez compter sur moi pour continuer à vous recevoir si vous voulez/pouvez venir. Mais je serai tout autant disponible pour faire les consultations par téléphoneet/ou en visioconférence (skype, whatsapp, hangout, zoom, … les outils ne manquent pas !) si vous ne pouvez pas ou préférez ne pas vous déplacer.
Tous les outils et méthodes que j’utilise pendant mes séances sont parfaitement opérationnels à distance. Certes, les séances sont moins sympas qu’en « direct live » mais elles n’en sont pas moins efficaces. J’en profite d’ailleurs pour remercier chaleureusement mes deux cobayes éloignées (Montélimar et Papeete !) pour m’avoir permis de tester la qualité de mon travail quand le consultant n’est pas dans la pièce avec moi.Merci, merci, merci !
Alors si d’aventures vous deviez rester cloîtré.e, vous pourrez TOUJOURS faire appel à moi pour vous aider à réduire votre stress, à dissoudre vos angoisses et clarifier vos idées.
En cette période agitée, je reste et demeure à vos côtés.
Pour prendre rendez-vous avec moi : appelez-moi directement au 06 63 60 11 26 ou cliquez sur ce lien :Prendre RDV avec Pilar.
Je vous embrasse comme je pense à vous, mes z’adorés : très fort !
PS : La baisse de l’activité qui devrait toucher tout le monde – sauf si vous êtes expert en gestion de crise, et dans ce cas, hardi petit ! mais venez quand même consulter pour éviter la surchauffe …- devrait me permettre d’écrire sur mon blog plus souvent. Si vous la thématique « comment rester calme et tirer son épingle du jeu quand tout part en couille le monde devient fou ? » vous intéresse, mes prochains articles seront « spéciale dédicace » pour vous….
On s’excite particulièrement sur les voeux cette année où non seulement on se souhaite une bonne année 2020, mais aussi une bonne décade. J’en profite pour remercier toutes les personnes qui m’ont envoyé leurs voeux (vous, je vous aime) ; et encore plus ceux qui ont pris la peine de les personnaliser (vous, je vous kiffe grave).
Calmons-nous.
Certes, notre cerveau aime les chiffres ronds (en fait, le cerveau n’aime pas compter dans l’absolu, seulement comparer. D’où son amour pour les ordres de grandeur) et les révolutions : circadiennes, mensuelles, annuelles, décades, siècles et astronomiques (notre cerveau aime la dopamine qui accompagne les wrap-up et les biffage de tâches dans les to-do lists).
D’ailleurs, ça tombe bien : je suis moi-même très ronde et carrément révolutionnaire ! (ha ha ha !)
Mais je n’aime pas du tout l’idée du « c’est reparti pour un tour ! ».
Alors cette année, je vous souhaite de vous libérer de la gravité (non seulement la terrestre si vous avez la chance de voler, mais aussi de tout ce qui vous pèse, vous plombe et vous écrase) et de partir à la conquête de votre bonheur bien à vous, où qu’il se trouve dans l’espace-temps et quelle que soit sa forme.
Et souvenez vous que :
chaque matin de chaque jour est une nouvelle seconde chance. Pas la peine d’attendre 2021 ou 2030 pour vous remettre en chemin vers vous-même.
pour avancer, couper les amarres, lâcher du lest et viser votre bonne étoile, vous pouvez compter sur moi pour vous donner le coup de pouce (ou le coup de pied au cul) dont vous avez besoin. Je reste à vos côtés, en 2020 et pour longtemps après.
Bisous d’amour fou, mes z’adorés. Cette année, c’est sûr, elle va nous décoller la pulpe du fond !
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* Ce n’est pas que j’aie des pulsions oecuméniques entre toutes les dates disponibles selon les religions et calendriers pour commencer l’année nouvelle, mais le 9 janvier, c’est mon anniversaire : littéralement, je bascule dans une nouvelle année de mon existence. Et hier, j’ai fêté mes (ATCHOUM) ans.
Et comme tout bon Jour de l’An, il est aussi férié dans le calendrier Pilarien. D’où la parution de mon post seulement aujourd’hui.
On m’a bien fait comprendre que ma production 2019 pour mon blog n’était pas la cause de l’aggravation du réchauffement climatique, ni de l’ébullition des cerveaux. Je vous présente mes plus plates excuses, j’avais d’autres combats à mener.
Mais là, j’ai un truc urgent ET important à vous dire. Ca se passe à mon cabinet, à la fin du mois d’octobre. Ca risque de vous faire BEAUCOUP de bien. Vous ne pourrez pas dire que vous n’avez pas eu l’info.
Du 28 octobre au 2 novembre 2019, la salle de réunion du 105 de la rue Caulaincourt se transforme en SPA et accueille la seule, l’unique France Kassabian, aka la « massagère ».
Je ne suis pas du genre à faire de la réclame à la légère. Je déteste les massages. Et pourtant, s’il n’y avait qu’une masseuse à fréquenter, c’est elle. Elle a réussi l’impossible : parvenir à me faire aimer de me faire tripoter par une fille.
Imaginez que vous voulez un massage où vous n’avez rien à dire car la masseuse parle le muscle couramment et que la bonne pression est appliquée au bon endroit comme par magie sans avoir à lui indiquer quoi que ce soit… (je n’ai pas trouvé l’amant idéal qui fait ça pour les galipettes, mais j’ai trouvé France Kassabian pour les massages. Et c’est déjà pas mal…)
Imaginez un massage où la masseuse est tellement respectueuse et à l’écoute que vous pouvez mettre à la poubelle vos complexes et vous sentir à l’aise dans la réalité de votre corps. (ceux qui me connaissent savent mes relations houleuses avec mon schéma corporel, comme on dit chez les sophrologues)
Imaginez un massage où vous ressortez en étant bien dans votre peau parce que les tensions de votre mental qui s’étaient incrustées dans votre corps -l’harmonie corps-esprit n’a pas que des bons côtés- n’ont pas pu résister aux mains pleines de justesse de la masseuse.
Imaginez un massage où la masseuse redonne ses lettres de noblesse à la pratique, très loin des effleurages inutiles d’une esthéticienne et du manque d’intentionalité d’un kiné.
C’est simple : un massage avec France Kassabian, c’est une séance de thérapie où on n’a pas à se prendre la tête pour aller mieux. (Si on réfléchit bien, le lâcher-prise, ça marche surtout quand on réfléchit pas trop…wink, wink)
Infos pratiques :
Quand ? du lundi 28 octobre 2019 au samedi 2 novembre 2019
Où ? Cabinet de Coaching & Thérapies 105 rue Caulaincourt – 75018 Paris Métro 12 ou bus 80 : Lamarck-Caulaincourt
Tarif : Massage 1h15 (1h30 avec le déshabillage/rhabillage) – 110 euros (CB ou espèces) Options supplémentaires possibles – à voir directement avec France lors de la prise de rendez-vous.
Pour prendre RDV France KASSABIAN : 06 99 42 06 85 (paniquez pas ! elle a l’accent 100% Avignon)
Alors tartinez le mot* et dites à tous vos copains qu’elle ne sera à Paris que du 28 octobre au 2 novembre (sinon, il faut aller à Avignon pour en profiter).
Je vous promets que vous allez être entre de bonnes mains (et jamais l’expression n’aura été littéralement plus vraie !)
Bonne semaine, mes soleils. Je vous écris vite bientôt…
*Tartine le mot pour « spread the word », mais j’avoue que la traduction façon Les Franglaises me fait hurler de rire.
Il me regarde de ses yeux pétillants et me demande : « Alors, quand on est coach, comment on se fixe des objectifs pour l’année ? » – genre, les cordonniers sont les plus mal chaussés, non ?
Comme je suis au coaching ce que le munster est au plateau de fromages, voici quelques unes de mes convictions bien tranchées quant à la fixation d’objectifs.
1. Les objectifs, c’est comme le Fight Club : on en parle pas.
On a tous en nous quelque chose de Tennessee Picasso. Il aurait dit :
« Quand on sait ce qu’il faut faire et comment le faire, à quoi ça sert de le faire ? »
– Pablo Picasso
Affirmer ses objectifs, les décortiquer en plan d’actions et rendre le tout public fait croire à notre cerveau que vous les avez déjà réalisés. Du coup, il ne va pas trop se décarcasser pour vous les faire atteindre. Donc vous avez carrément beaucoup moins de chances de les atteindre. Donc vous avez carrément beaucoup plus de chances de vous taper la honte en face des gens à qui vous aviez promis de « perdre 20 kg », « arrêter de fumer », »monter ma boîte », « doubler votre chiffre d’affaire », « développer mon business en Chine », etc. C’est ballot !
Vos objectifs, vous les écrivez sur un bout de papier – histoire d’avoir un peu de recul sur eux et de pouvoir les remettre en cause, les modifier et les adapter au gré des circonstances. Et, telle la vie heureuse, vous les gardez cachés. A la rigueur, si vous avez vraiment envie de dire vos objectifs à quelqu’un, dites-les à votre coach : à ce moment-là, une partie de son cerveau à lui/elle va pédaler pour que vous atteigniez vos objectifs à vous.
2. Les objectifs, c’est pour les nazes.
« Goals are for losers ».
– Scott Adams
Les champions ne pensent qu’aux processus (systems) à améliorer, pas aux résultats (goals).
Je ne vais pas m’étendre sur ce point, l’auteur de Dilbert sus-cité, en a fait une très bonne présentation (que vous pouvez regarder ci-après).
3. Pas la peine de vouloir quelque chose si vous n’êtes pas d’accord avec vous même
L’alignement, ça vous dit quelque chose ?
C’est quand notre comportement (les trucs visibles que l’on fait) sont en accord avec des trucs moins visibles comme : nos croyances, nos valeurs, notre identité… tous ces trucs qui sont dispatchés dans notre conscient et inconscient comme les pièces des auto-radios dans les voitures (ie : on ne sait pas encore quoi est où, quoi qu’en disent les neuropsychotrucs). Pas la peine de lorgner sur une Rolex façon Séguela si pour vous le bronzage aux UV et la manucure pour les hommes sont synonymes de ringardise. Il y aura un « cross purpose« , comme on dit chez les Espagnols, entre votre conscient et votre insconscient. Et qui est-ce qui gagne TOUJOURS à la fin ? Zorro ET votre inconscient.
Pour changer un comportement (« arrêter de fumer », « facturer ses prestations au juste prix »,…) il faut aligner TOUS les étages de la fusée et mettre en cohérence :
votre comportement : C’est souvent à cet étage de la fusée que nous fixons des objectifs. Imaginons que vous souhaitez lire 1 livre par semaine en 2019.
votre environnement : pas la peine de vouloir lire 1 livre par semaine si vous n’achetez ou n’empruntez ou téléchargez aucun bouquin ou si vous avez besoin de lunettes mais que vous êtes trop coquet.te pour les mettre,
vos compétences et vos capacités : vous voulez lire 1 livre par semaine en y consacrant 30 minutes par jour seulement ? Pas de souci, il vous faudra apprendre une méthode de lecture rapide. (La bonne nouvelle ? ça s’apprend !)
vos croyances et vos valeurs: vous pensez que les personnes cultivées sont des môssieu-je-sais-tout insupportables et arrogants ? Or vous êtes quelqu’un de simple et gentil. Vous allez ramer un peu si nous ne vous débarrassez pas ce cette croyance.
votre identité : vous êtes l’ingénieur pur jus de la famille et tout le monde trouve normal -et vous en premier !- d’être nul en « Lettres ».
Humm humm. Et si vous preniez plutôt RDV avec moi ?
4. A la place de me fixer des objectifs, je préfère me fixer une intention.
J’ose vous l’avouer : je suis une bonne grosse burne en fixation d’objectifs personnels (tiens ?! j’ai un problème d’identité, on dirait).
Mais depuis quelques années, j’ai essayé un truc qui marche plutôt bien sur moi. Voyez comment vous pourriez l’adapter pour vous.
Il s’agit tout simplement de poser EN 1 SEUL MOT la couleur sous laquelle vous allez éclairer votre année et de prendre toutes les décisions de l’année en fonction de cette intention.
En 2018, j’avais posé le mot « ALIGNEMENT » (justement !) et cette étoile du berger m’a guidée vers une pratique professionnelle plus en accord avec moi-même, avec des clients qui me correspondaient mieux. J’ai dit non plus facilement. J’ai nettoyé des croyances à la pelle. La seule chose que j’ai eu à faire a été de me remettre dans mon sillon d’alignement à chaque fois que j’en sortais.
En 2019, je pose l’intention de « FACILITE ». Cette année, je veux de la légèreté, de la simplicité, du flow où tout coule de source dans le sens de la pente -et douce, la pente, s’il vous plaît.
Ce sera mon phare dans la nuit de mes prises de décisions : c’est simple, facile à mettre en oeuvre, easy-peasy, élégant mathématiquement, naturel, évident, les doigts dans le nez ? Alors GO ! Sinon tant pis. Et fuck le FOMO* !
*FOMO : Fear Of Missing Out. Sentiment de passer à côté de quelque chose après avoir fait un choix ou pris une décision.
Ce que je vous souhaite en 2019 ?
Je vous souhaite de trouver l’intention qui vous guidera et protègera votre temps précieux tout au long de cette nouvelle année. Et en 1 seul mot, sinon ça va vous brouiller l’écoute de vous-même. (wink, wink !)
Je vous embrasse comme je pense à vous, mes chatons : très fort !
Talleyrand aurait dit, entre autres vacheries, « Quand je me regarde, je me désole. Quand je me compare, je me console. » Il avait une piètre opinion de lui-même et donc encore plus des autres. Mais surtout, il avait tort ! .
Quand je me regarde et je me compare (avec bienveillance, vous l’aviez compris), je me connecte !
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C’est l’objectif des storytellings de THE GLINT, où des inconnus viennent raconter sur scène en 8 minutes une histoire personnelle et font se relier les spectateurs au grand bordel sympathique de l’Humanité et de leur humanité.
Je fais partie de la brochette qui va prendre la parole le 8 octobre prochain.
(NDLR : oui, je pète de trouille !)
Ca me ferait plaisir que vous veniez, pas tant pour m’encourager que pour passer une bonne soirée en compagnie d’autres êtres humains, autour d’un verre et d’une planche de fromages et/ou de charcuterie (la vraie bonne vie « as it should be », quoi !) dans ce lieu atypique qu’est la Lingeriedes Grands Voisins (feu l’Hôpital St Vincent de Paul).
La Lingerie
(suivre les panneaux en arrivant aux Grands Voisins)
Les Grands Voisins (Ancien hôpital Saint-Vincent-de-Paul)
74, avenue Denfert-Rochereau – 75014 Paris
Métro lignes 4 et 6 : Station Denfert Rochereau à 6 min à pied RER B : Station Denfert-Rochereau et Port Royal à 4 min à pied
Quand ?
Lundi 8 octobre de 19h30 à minuit.
Ca ressemble à un spectacle, mais on est plus dans un bar/salle des fêtes où le micro est ouvert entre deux sets musicaux. Vous venez quand vous voulez, vous repartez quand vous voulez…
Comment ?
Le plus pratique est de réserver votre place sur le site de The Glint : The Glint
ou directement sur le site d’HelloAsso qui gère leur billetterie : Hello Asso The Glint du 8 octobre
C’est seulement 8 euros en commandant votre place sur le site.
Sinon 10 euros à la billetterie sur place, le jour J.
Avant, il y avait TED pour se caresser le cerveau. Maintenant, il y a THE GLINT pour se caresser le coeur.
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Au plaisir de vous y retrouver.
PS : Envie d’un avant goût ? Allez sur le site The Glint – Vidéos et Podcasts pour voir les prestations de mes illustres prédécesseurs…